Le leader français du déstockage sur internet, après sa débâcle américaine continue sa diversification en élargissant son périmètre d’offres à l’assurance automobile. En décembre 2014, les membres du site vente-privée.com se sont ainsi vus proposer une remise de 50% sur les offres d’assurance automobile d’ASSU 2000. Deux coupons étaient proposés l’un de 150 € et l’autre de 250€, d’une valeur réelle respective de 300 € et 500 €. Ces bons d’achat sont valables pour toute souscription jusqu’au 18 avril 2015 et pourront être utilisés dans l’une des 400 agences du réseau physiques ASSU 2000. Dans le cadre de ce partenariat, le site vente privée était référencé en tant que mandataire d’intermédiaire en assurance à l’Orias.

Pour ASSU 2000, l’intérêt de cette collaboration est multiple :

  • Profiter de l’audience du site événementiel (près de 3,5 millions de visiteurs quotidiens) et associer à sa marque le concept « d’achat malin » (modèle prôné par le site vente-privée).
  • Développer la notoriété de l’entreprise grâce à la couverture médiatique générée.
  • Animer son réseau de courtage (les agences physiques) et stimuler ses ventes grâce à une remise intéressante.
  • Encourager le cross-selling/up-selling et augmenter le panier moyen : le décalage de l’acte d’achat de l’acte de consommation (utilisation du bon en agence) met le consommateur dans une condition favorable pour dépenser au-delà de la valeur faciale, avec l’impression d’avoir fait une bonne affaire.

Plus largement cette opération s’inscrit dans une stratégie cross-canal qui réinvente l’expérience shopping et atténue les distinctions entre boutiques physiques et ventes en ligne. Les points de contacts avec le consommateur sont multipliés, ce qui offre davantage d’opportunités de services et in fine permet d’augmenter le taux de transformation.

Ainsi que le déclare Emmanuel Poyatos, directeur opérationnel d’ASSU 2000 dans un communiqué  :  » Ce partenariat s’inscrit parfaitement dans notre projet plus global de transformation numérique de l’entreprise, le consommateur souhaite être contacté là où il achète : le web. Nous avons donc besoin d’être présent sur ce nouveau canal de distribution mais sommes confrontés à un enjeu de taille que rencontrent aujourd’hui toutes les entreprises qui se sont bâties autour d’un réseau physique : la digitalisation nécessaire de notre métier et surtout de nos équipes. »